Désormais, il y a Sexshop et Sexshop.
Il y avait le Sexshop, façon ancienne génération (il y en a toujours énormément à Paris et en province), avec ses cabines, son gérant bedonnant installé passivement derrière son comptoir, ses clients en imperméable, ses magazines, son entrée à rideaux, … un endroit lugubre qui peut ressembler à ça :
Et, puis, maintenant, il y a des endroits lumineux, ouvert au public, avec des conseillers au physique agréable, des rayons bien agencés. C’est le concept qu’essaie de développer la chaine « passage du Désir ». Nous sommes allés, au LoveStore du Châtelet, au 22, rue du Pont Neuf.
La boutique est discrète. On n’a eu pas l’impression de rentrer dans un sexshop mais plutôt dans une boutique de produits cosmétiques.
Pas d’enseignes agressives, tout dans la discrétion, on s’est senti tout de suite à l’aise en y rentrant.
La clientèle était 100% féminine, à l’heure où nous sommes pointés. Les vendeurs, deux jeunes hommes au physique agréable.
Nous avons commencé par la lingerie pour rapidement arriver au rayon phare de la boutique : les vibromasseurs. Un vendeur (celui aux tatouages sur les bras) est venu nous expliquer le fonctionnement du vibromasseur vedette en présentoir, le Pulsateur Stronic Eins de Fun Factory.
Caractéristiques de l’engin : Taille 23,8cm – Diamètre 3,5cm au plus fin et 4,5cm au plus large – Disponible en rose ou en violet – 10 rythmes de pulsation
Produit à ne pas utiliser pour la pénétration anale.
Les dimensions de l’engin sont effectivement impressionnantes et les vibrations puissantes.Son touché est doux et la matière est à base silicone mais son prix est également conséquent : 149 euros. Cela sera donc pour une prochaine fois. Au final, nous sommes restés une vingtaine de minutes dans le magasin et notre conseil est : Allez y, seul (e) ou en couple, faites-vous plaisir, vous ne ne verrez plus après les sexshops de la même façon.
Mon mari m’a offert, un sextoy (lelo Mona) et puis un deuxième (un petit discret clitoridien). Depuis, cela a complètement changé notre façon de faire l’amour, on est désormais deux gamins avec nos joujoux. Cela ne nous empêche nullement de revenir au classique de temps en temps, souvent parce que on a la flemme de sortir nos jouet soigneusement dissimulés et qu’on est confortablement installé sous la couette.